
Georges Malbrunot écrit : « Asma ne flâne plus au bras de son mari dans les ruelles de la vieille ville de Damas, avant d'aller dîner dans un de ces patios odorants, qui font le charme de la capitale syrienne. Depuis bientôt un an que la révolte secoue son pays, la première dame, vedette des magazines glamour il n'y a pas si longtemps encore avec ses colliers d'agates griffés Chanel, se fait des plus discrètes. Ses proches, au début de l'insurrection, la devinaient perturbée, gênée, sans doute mal à l'aise; elle qui a grandi dans les...
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